Elle en évoque les fondamentaux avec, d’abord, la présentation d’une palette sélective et épurée de matières, à la source de leur imaginaire constructif. Les paysages représentent la seconde composante de leur approche. Fragmentés, ils s’entremêlent, saturent l’espace et recomposent un portrait éclectique du territoire. Là, les récits récoltés dessinent un programme immanent aux sites sur lesquels ils sont intervenus. Ils confèrent une résonance sensible aux installations qu’ils ont créées – le Péliau, l’Entaille, la Cabane du passeur, la Charrette renversée, le Périscope – leur permettant de faire œuvre.
Dans l’antichambre de cette géographie, en dialogue avec les projets réalisés (ou non), un étal hétéroclite se déploie pour apporter un complément élargi de compréhension de leur démarche. Des images et des artefacts qui constituent leur univers et témoignent des expériences traversées.
Vernissage ouvert à toutes et tous sans réservation, le mardi 16 avril à 18h30.
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