Inauguration revue Laura n°34
Inauguration de la revue Laura à la galerie de l’École Nationale Supérieur d'Art de Bourges, La Box
Inauguration de la revue Laura le vendredi 24 novembre de 17h30 à 19h à la galerie de l’École Nationale Supérieure d’Art de Bourges, La Box.
La revue Laura est un semestrielle régional. Elle est tirée à 1000 exemplaires distribués en France, dans les institutions culturelles (centres d’art, écoles d’art, bibliothèques, centre chorégraphiques, etc.). Elle est disponible sur Internet : https://groupelaura.fr/.
Elle a, entre autres, l’ambition de donner l’opportunité à de jeunes critiques d’art de publier ponctuellement ou régulièrement des articles de recherches. Raison pour laquelle la revue n°34 met à l’honneur le dispositif « Chroniques ».
Le dispositif « Chroniques »
Le dispositif « Chroniques » est une proposition éditoriale qui vise à la rédaction et à la publication de textes écrits par des critiques voyageur·euses invité·es à arpenter le territoire du Centre-Val de Loire. Il s’agit d’un programme original porté par l’AICA France, devenir·art – réseau des arts visuels en Centre-Val de Loire, et la revue Laura.
Paraîtront dans ce numéro de la revue n°34 les textes de Madeleine Filippi et Laetitia Toulout, les deux premières lauréates du dispositif « Chroniques ».
Les lauréates seront présentes lors de cette inauguration pour échanger avec les participant·es et le public de manière informelle.
La galerie La Box
Cet évènement se déroule à la galerie de l’école nationale supérieure d’art de Bourges, La Box. L’occasion de découvrir l’exposition en cours : MILLE VILLAGES رمتسم جيجضUN BRUIT CONTINU.
Cette exposition présente un ensemble d’œuvres d’artistes et d’archives, qui reviennent, analysent et parlent des camps de regroupements établis par l’armée française en Algérie pendant la guerre d’indépendance. Elle fait dialoguer archives et œuvres, documents et récits, pour tenter de saisir les liens et les continuums qui se lisent encore aujourd’hui. C’est aussi le croisement de ces histoires intimes et de l’histoire politique, au regard de l’actualité, qui réactive certaines questions encore ouvertes.
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